Comment reconnaitre un triathlete

Extrait du forum du club … lui meme extrait de facebook

Vous savez que vous êtes un triathlète quand …

Lorsqu’on vous a demandé votre âge , vous avez répondu 20-24.

Lorsqu’on vous a demandé combien de temps vous vous êtes entrainé aujourd’hui la réponse est trois à quatre heures.

Votre entrainement est plus limité par votre temps disponible que par vos capacités physiques.

Votre première pensée quand vous vous réveillez est de savoir à quelle hauteur est votre fréquence cardiaque de repos .

Vous partez courir même si il y a un orage et vous aimez être mouillé et sale.

Tu crois qu’il est naturel de faire “tes besoins naturels” derrière un arbre dans la forêt.

Vous prenez part à un défi entreprise afin d’améliorer votre vitesse de base.

Vous partez pour un 5 kms de récupération juste apres 5kms course pour appeler çà une session d’entrainement .

Vous considérez travail, le temps de récupération entre les entrainements .

Quelque chose de dur entre les jambes est habituellement un pull-buoy

Vous avez une bouteille d’eau quand vous conduisez votre voiture.

Vous avez oublié la façon de boire dans des gobelets.

Vous passez 2 semaines de vos vacances annuelles dans des stages d’entrainement.

Vous savez combien de grammes de proteines contient chaque barre énergétique .

Vous envisagez sérieusement la demande de naturalisation, au Tonga, au Yémen ou auTschad afin que vous puissiez participer aux jeux olympiques.

Lorsque les gens vous demandent si vous êtes capable de courir un semi-marathon , vous vous sentez insulté.

En été, vos jambes sont mieux rasées que celles de votre copine.

En hiver, vos jambes sont encore mieux rasées que celle de votre copine .

Vous avez besoin d’une photo pour une demande d’emploi et il ne vous reste que des photos de courses.

Vous utilisez vos T-shirts offerts par les triathlons pour nettoyer votre vélo.

Le parfum que vous portez à longueur de journée sent le chlore .

Vous avez pris plus de douches dans un vestiaire que chez vous.

Le chien court et se cache quand vous sortez la laisse!

Tu crois qu’il n’y a que deux saisons au cours de l’année , course et repos .

Vous rasez beaucoup trop de parties de votre corps pour un mec.

Vous ne savez pas changer l’huile dans votre voiture, mais vous pouvez entièrement remonter votre vélo en 45 minutes .

Vous dépensez plus d’argent dans votre entraînement et vos vêtements de course que dans vos vêtements de tous les jours .

Quand vous voyez une dame arroser ses fleurs , vous lui demandez si vous pouvez emprunter le tuyau d’arrosage pendant une minute afin que vous puissiez remplir vos bidons.

Vous nettoyez votre vélo plus souvent que votre voiture .

Votre voiture ressemble à un vestiaire.

Vous avez tout ce qu’il faut dans votre voiture pour être prêt en cas de séance d’opportunité de caser une séance natation, vélo ou course à pied.

Lorsqu’on vous demande de tondre la pelouse par 35°, vous dites qu’il fait trop chaud pour le faire , mais une heure plus tard, vous allez faire la sortie longue de la semaine parce que c’est tellement agréable.

Vous dites à vos collègues que vous vous apprêtez à aller faire une sortie longue dimanche et vous espérez juste qu’ils savent de quoi vous parlez.

Quand un collègue vous demande si vous courez ce week-end, vous dites «oui, mais je vais juste gérer un 10k, donc ce n’est pas VRAIMENT une course”.

Vous considérez Powerbar comme l’un des quatre groupes alimentaires.

Vous avez beaucoup de bouteilles d’eau, épingles et de t-shirts chez vous.

Vous allez récuperer le lendemain d’une course à l’entrainement natation avec le numéro de course toujours tatoué sur le bras et la jambe .

Vous avez du mal à faire un déjeuner en dessous de 2000 calories.

Vous avez un vélo de 4000€ accroché sur le toit de votre voiture qui coute 2000€.

Au lieu de Marie Claire, Cosmo… vous avez des tas de Triathlète dans vos WC.

Vous dites bonjour aux cyclistes que vous croisez et si il ne repond pas , c’est qu’il est un pur cycliste , le triathlète est amical pour vous.

Vous n’avez pas un, ni deux, mais trois anneaux de traces chaînes permanentes sur votre mollet droit l’été.

Vous ne savez pas quel tee-shirt d’Ironman vous allez porter sur votre prochaine course .

Vous avez beaucoup plus de paires de chaussures courses à pied dans votre armoire que votre femme a de chaussures de ville .

La combinaison que vous portez à Aquaman sur le torse.

Vous portez votre moniteur de fréquence cardiaque au cours de rapports sexuels ….

… Et vous essayez de rester dans la bonne zone !!!

Vous apportez des bouteilles d’eau à une soirée , afin que vous soyez bien hydraté pour la longue CAP du lendemain matin . Tout le monde lors de la fête a également amené sa propre bouteille d’eau parce que vous n’avez pas une vie sociale en dehors du triathlon. Ah oui, et ils sont tous arrrivés à 19 h et partis à 22h.

Votre société annonce la fermeture obligatoire non rémunérée du Vendredi tout au long de l’été afin de réduire leurs coûts et votre réponse est “super maintenant je peux faire deux long entraînements sur le week-end et avoir une journée de repos.”

Vous pouvez demander à votre mère ,votre sœur ,votre femme des conseils pour … s’épiler .

Impossible c’est elle qui vous demande conseil !

Vous dites que vous êtes allés à une course le week-end dernier … et quelqu’un répond: “course à pied ou le vélo”, et vous êtes obligé d’expliquer à nouveau ….

Vos collègues de travail vous surprennent avec un menu XL du Macdo , et vous avec un large sourire leur expliquez que vous n’aurez aucun probleme pour le digérer .

Vous portez votre maillot de bain sous vos vêtements de travail pour faire un changement rapide et avoir le temps de faire toute votre séance .


6 mois … avant objectif

Les semaines se sont finalement très vite écoulées et en regardant le calendrier, je vois le mois de Juillet arriver. Pour l’instant je suis dans les clous avec mes attentes.

En course à pied, à ma grande surprise ça tient le coup. Je m’enquille de bonnes scéances à mon goût, des fois un peu trop tard le soir, mais ça va. On verra le résultat dans 5 semaines sur le semi.

En natation, j’avais essayé pendant les vacances de noël de mentaliser le mouvement devant une glace et de bosser un peu avec des petits poids de fitness. Résultat : je suis passé de 1’45 au 100m à 1’35 et j’ai même fait 1’27 en série l’autre fois. Ca fera rigoler plus d’un minime ou benjamin, mais moi ça me va pas mal du tout. Objectif : aligner les 100m en 1’30 d’ici cet été.

Côté bike, je continue à tout miser sur le Home Trainer. Je varie avec des scéances de type en force sur des répétitions de 5min et des scéances plus intenses sur des séries de 2 min. FC>150.

Entre le boulot qui me capitive pas mal en ce moment, et Maelle, ma fille, qui nous émerveille par ses progrès tous les jours, je vais essayer de mieux m’organiser pour maintenir le cap. L’idéal serait au moins que tous les midis que j’ai de libre, que je fasse une scéance de HT.

Faire rimer entraînement et bien être

Source :  http://www.triathlon-live.info/html/index.php?page=3&page_id=1970

Mickael SAINT-AYES, Conseiller sportif, mickael.saint-ayes@wanadoo.fr

Faire rimer entraînement et bien être

La lassitude de l’hiver, le manque de compétitions sont là et pourtant nous continuons à braver le froid, la nuit et le mauvais temps.

Mais pour nous autres, pratiquants assidus s’entraînant tous les jours quelque soit l’heure, la météo, le lieu sommes des sujets sans cesse en quête d’un idéal, comme le souligne justement J. Birouste : « Physiquement et mentalement, (nous) recherchons l’idéal de la netteté et sommes tenu par la question de la limite, par le désir d’aller au point idéalement juste et harmonieux, par le goût du but à atteindre ».

Mais vu de l’extérieur, cette quête de la perfection est parfois incomprise par notre entourage non pratiquant. Nous leur donnons une impression de dépendance vis à vis de notre activité ; des adeptes d’une pratique individualiste, répétitive et monotone, sans grand intérêt (« Tu cours après quoi ? »), demandant un investissement conséquent, un dépassement de ses limites et engendrant à terme une usure prématuré de son organisme (« Tu verras tes genoux et ton dos quand tu auras 50 ans ! »).

En effet nous pouvons nous demander ce qui fait nager, rouler et courir le triathlète ? Ce qui pousse les compétiteurs d’IronMAn à enchaîner des journées d’entraînement d’enfer ? Ce qui nous oblige à nous entraîner tous les jours pour ne pas avoir mauvaise conscience d’avoir loupé un entraînement par manque d’envie ou de temps ? Autant de questions et bien d’autres encore qui nous amène à nous interroger sur ce qui nous motive au quotidien. Ce que les non pratiquants ne comprennent pas et ne peuvent pas comprendre.

La réponse est simple LE BIEN ETRE ! Sans lui rien n’est possible. Même si cela peut sembler paradoxal de faire rimer entraînement, compétition et bien être lorsque l’on voit la somme des contraintes quotidiennes que nous nous imposons. Il faut bien reconnaître que c’est la source à laquelle nous nous abreuvons tous. Ce plaisir est discret mais efficace et omniprésent. Il existe en nous et est présent dans chaque goutte de sueur.

Scientifiquement, il est reconnu depuis les années 70 que l’activité sportive a un pouvoir euphorisant sur l’organisme par la sécrétion de molécules semblables à la morphine et de leurs effets sur certaines zones du cerveau. L’organisme est donc capable de moduler plus ou moins efficacement sa perception de la douleur et du plaisir par la fabrication de molécules des familles des enképhalines, endorphines et dynorphines. Néanmoins nous ne pouvons résumer la problématique du bien être provoquée par la pratique sportive à la seule influence de ces dérivés de la morphine. En effet au delà de ces conceptions scientifiques indéniables, nous pouvons admettre très facilement qu’il existe des raisons bien plus pragmatiques qui nous poussent à nous mouvoir au quotidien.

Pour nous autres passionnés, le triathlon qu’il soit envisagé par le versant de la compétition, de la découverte, du plaisir, de l’entretien nous permet de découvrir le monde, d’échanger avec d’autres, de connaître son organisme et de le respecter et enfin et surtout de trouver un équilibre et un épanouissement au quotidien. Cette vision de la pratique sportive, complètement indifférente des non pratiquants nous permet de trouver un bien être au quotidien dans notre pratique préférée.
Même si les premières compétitions commencent à se rapprocher, il faut savoir faire un bilan intermédiaire sur tout le travail hivernal déjà réalisé. Pour ceux, qui en cette fin d’année commence à sentir les effets de la lassitude et de la fatigue physique et psychologique, c’est le moment de faire rimer entraînement avec coupures, petites vacances, familles et découvertes. La priorité n’est plus au travail de son potentiel mais simplement à la recharge des batteries. Cette autre vision de la pratique est primordiale avant de se relancer dans une autre période d’entraînement. L’entraînement se base au quotidien par une alternance du travail avec le repos. Ce dualisme doit également trouver sa place à l’échelle de la saison. Le mieux étant de se l’appliquer dès lors que notre organisme nous le fait ressentir. La persévérance est un facteur essentiel de performance pour nous autres, mais il ne faut pas la retourner contre nous en voulant continuer des phases d’entraînement trop longues alors que notre organisme nous demande de ralentir. Car ce dernier ne nous le demande pas vraiment. Il nous le fait comprendre par le biais de la blessure. Le bien être passe par la décompression et l’oubli de l’obligation d’entraînement. Savoir faire rimer entraînement-famille-vacances permet de reconstituer les batteries et de partager ce moment d’équilibre avec tout son entourage. Quel plaisir d’aller faire une balade en raquette au grand air alpin avant de prendre un déjeuner typiquement savoyard et d’enchaîner avec une séance de farniente.

Pour les autres, ceux chez qui les sensations commencent à arriver c’est peut être le moment d’envisager d’autres types de pratique avec le cross, le cyclo-cross, le duathlon des neiges et/ou d’aquathlon. Le calendrier y est parfaitement adapté. De surcroit, notre potentiel développé de façon complète nous permet sans grand soucis et sans nous demander une grosse préparation spécifique d’aborder de nouvelles pratiques. S’essayer, aller voir autre chose sont autant de moyens de découvrir la pluralité de notre activité. Le triathlon ne peut rimer en permanence avec recherche de son optimal. Savoir aller voir ailleurs par moment nous permet d’apprendre et d’aborder les compétitions de façon différentes ; sans pression. Lors d’une nouvelle pratique, nous sommes beaucoup plus passifs. Nous vivons la compétition du début à la fin sans l’obligation de résultat même si celui-ci revient vite. Et quel plaisir d’avoir découvert une autre pratique et une autre approche de la compétition et du triathlon !

Si nous considérons la notion de bien être par un versant plus physiologique, notre pratique quotidienne nous permet de connaître le fonctionnement de notre organisme. Au fur et à mesure des entraînements, des mois et des années, nous savons comment réagit notre organisme, combien de temps de récupération il lui faut, dans quelles limites nous pouvons le solliciter, à quels moments de la saison nous serons en forme ou au contraire fatigués. Cette attention particulière que nous lui portons semble très logique car s’est belle et bien lui qui nous permet de nous mouvoir. C’est notre instrument de plaisir ! Son non respect serait une aberration ! Cette impression de narcissisme que nous pouvons parfois donner autour de nous est souvent critiqué par les non pratiquants ; jaloux de notre bien être physique et psychologique.
S’il est vrai que nous sollicitons notre organisme au delà de la norme, même si celui-ci est avant tout fait pour se mouvoir et ne pas rester immobile, nous en prenons soin. Nous sommes les premiers à réaliser des prises de sang pour contrôler des composantes telles que le Fer, le Potassium, le Calcium, le Magnésium autant d’éléments biochimiques essentiels au bon fonctionnement de notre organisme. Mais lors de ces analyses sanguines nous  contrôlons également des composantes beaucoup plus communes telles le Cholestérol, la Glycémie ou encore l’Acide Urique. Ce suivi au quotidien nous permet d’anticiper toutes variations dangereuses ; nous faisons de la prévention et non pas du curatif !
Nous savons également adapter notre alimentation aux exigences de notre pratique et aux demandes de notre organisme. Même si cette attitude peut paraître vue de l’extérieure comme une restriction alimentaire, il est un simple régime alimentaire adapté aux particularités de chacun. Nous ne nous privons pas, même en cette période festive sinon nous ne pourrions pas faire ce que nous faisons tous les jours. Nous faisons simplement attention à notre assiette ; il n’y a pas de mal à cela ! La lutte contre l’obésité ne fait pas partie de nos préoccupations, ni même celle contre l’anorexie.

Après de bonnes séances d’entraînement le sommeil vient tout seul. Il est complet est récupérateur. Pas besoin de somnifères pour s’endormir, ni stimulants pour se réveiller le lendemain. Notre activité quotidienne permet une autorégulation de notre organisme. Il nous demande de dormir, de bien manger, de récupérer, si nous l’écoutons et le respectons le bien être est omniprésent. Cette correspondance entre ce qu’il nous demande et ce que nous lui demandons permet d’éprouver un plaisir permanent lors des entraînements.

Le bien être peut également se définir dans notre approche du triathlon par l’équilibre entre les contraintes professionnelles et familiales et le pouvoir déstressant de la pratique notamment en groupe. Mais aussi dans la recherche d’un certain épanouissement personnel. Ce petit moment de déconnexion de la journée, nous permet à chacun d’oublier ou momentanément de mettre de coté nos petits soucis quotidiens. Savoir les partager avec d’autres, ne pas les accumuler, se lâcher en se donnant à 100% sur la séance permet d’envisager la vie d’une autre façon. Nous savons que nous sommes capables. Nous savons nous investir à l’entraînement pour réaliser nos objectifs sportifs. Nous en faisons de même dans notre activité professionnelle quotidienne. Quand nous sommes compétiteurs, quand nous nous investissons dans notre projet sportif nous en faisons autant vis à vis de notre métier et notre entourage. Cet investissement, cet épanouissement et cet équilibre nous permet de repartir chaque soir de l’entraînement totalement soulagé et satisfait de s’être bien entraîné même si en arrivant au vestiaire une heure plus tôt la motivation n’était pas forcément présente. L’effet groupe, respect de son plan d’entraînement sont autant de facteurs permettant de se sentir bien après les séances. Sinon pourquoi y aurait-il autant de cadres d’entreprise, soumis à une certaine pression professionnelle qui se mettent à la pratique sportive dans le seul but de trouver un palliatif à leurs contraintes quotidiennes. Ils viennent chercher une certaine déconnexion de la réalité momentanée et ces sensations de bien être.

Les effets idéaux que nous attribuons dans cet éditorial à notre vision du triathlon c’est à dire une pratique sportive permettant de découvrir le monde, d’échanger avec d’autres, de connaître son organisme et de le respecter et enfin et surtout de trouver un équilibre et un épanouissement au quotidien peut très facilement être mis à mal dès lors que nous franchissons ses mêmes limites. Le surentraînement, le dopage, la tricherie, l’individualisme ne sont pas si loin que cela. Il ne faut pas se masquer la vue ! Nous n’envisageons pas tous le triathlon de la même façon.
Néanmoins, en se fixant comme ligne de conduite le recherche du bien être dans notre pratique quotidienne lors des entraînements ou en compétitions nous ne pourrons en ressortir que grandis.
Mickael SAINT-AYES, Conseiller sportif, mickael.saint-ayes@wanadoo.fr

Test sur home trainer : recherche FC Max et récupération

Afin d’avoir quelques repères sur home trainer j’ai fait un test ce matin : 15 min echft / puis des paliers de 2 min avec une augmentation de la FC de 5  à chaque fois puis recup passive (sans bouger) de 1 min pour voir à combien la FC descend. Je n’ai pas pris en compte le paramètre vélocité car mon compteur est HS, mais je devais osciller entre 95 au début et 110 à la fin.

Le résultat en image :

test home tainer 05/01/2009

Quelques commentaires : j’ai toujours du mal à dépasser les 170, là j’ai du faire une pointe à 172 en étant complètement à bloc. Pour le FC Min, on peut noter que je redescends toujours aussi rapidement à la fin, il serait intéressant de refaire des tests du type 2min à 160 ou 165 puis 1 min de recup plusieurs fois et voir à partir de combien de temps la FC Min commence à se rapprocher de la FC cible. … pourquoi faire me direz vous ! Et bien pour avoir un indicateur de performance sur ma capicité à être au seuil (environ 165 je pense) et à redescendre rapidement pour refaire du jus (par exemple sur une petite descente lors d’une course)

pour mémoire, le fichier excel : 090105_test_home_trainer.xls

Documentation : Tests en Course à pied et entrainement fractionné

Voici la nouvelle année qui vient d’arrivée. J-6 mois donc.

La forme commence à venir, en course à pied pour l’instant. Et le père noel m’a apporté un home trainer et un cintre de chrono. Waouh!

J’ai de nouvelles jambes aussi, en effet, cette semaine j’ai passé 2 entrainements en fractionné et les mollets tiennent le coup et j’ai des courbatures dans les cuisses. Question cardio, je commence à avoir mes repères. Pour l’instant je tiens les séries de 2000m en 3’50 FC 165/170.

Prochain objectif : le semi de Saint Priest – fin février. Je vais viser les 1h20. Ca fait du 3’50 au km. Du coup faut que je trouve un plan d’entrainement sur ces bases.

Dans mes recherches de plan d’entrainement j’ai lu les pages suivantes :

http://ultrafondu.free.fr/Recherche/2001-05-Billat.php

http://spip.endurance2003.levillage.org/spip/article.php3?id_article=51

http://yannick.del.free.fr/bases%20entrainement.htm

le test de VamEval : http://home.nordnet.fr/~scharlet/feuilles.htm

Conclusion : il faut bien que je me renseigne pour ne pas casser la machine. Ce qui apparait c’est qu’il faut plutôt bosser sur du fractionné court 30/30 que du fractionné long qui risque de me blesser. Et selon les études que j’ai lu, c’est tout aussi efficace et on travaille mieux à des hautes FC car avec les 30″ de recup le coeur n’a pas le temps de redescendre.