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Bilan à 5 semaines de l’objectif

Je viens de clôturer 2 grosses semaines à près de 15h00 (surtout du vélo). J’ai passé aussi des enchainements et une grosse sortie de 145km qui m’a bien rassurée sur ma capacité à tenir les 180kil.

J’ai surtout compris ce que « allure IM » veut dire : ne pas se mettre dans le rouge, tenir sa cadence de pédalage jusqu’au bout : d’ailleurs souvent, en voulant aller plus vite, on tourne moins les jambes et finalement on perd 1 kilometre heure en se fatiguant plus.

Je vais donc mettre l’accent sur les 2 prochaines semaines sur Course à pied et Natation. D’ailleurs, grande nouvelle : j’ai des BOOSTER (BV Sport) depuis quelques jours et visiblement c’est LA SOLUTION miracle à mes problèmes de contracture au mollet. Il s’agissait « surement d’un problème d’irrigation … bref, j’aurai dû investir avant … Mais à 1 mois de l’objectif … mieux vaut tard que jamais 😉

Pour la partie natation idem : je vais repasser à 2 ou 3 heures par semaines.

Quant au vélo, je vais continuer de l’home trainer pour maintenir la vélocité et faire fondre les graisses (objectif : perdre 2 ou 3 kilos d’ici juillet). Pour les sorties longues (150kil), je vais tout concentrer sur le WE du 21 mai à 2 semaines du but, ensuite ce sera la coupures pour laisser au corps un peu de repos sur les 2 dernières semaines.

Alimentation et ironman

Encore un sujet bien intéressant, y’a pas mal de littérature sur le sujet.

Aussi cet article n’a pour seule prétention que d’être une petite prise de notes que devrait me servir à bien passer mon premier Ironman sur l’aspect alimentation :

* repas de veille : éviter légumes et protéine  et laitage .. bref tout ce qui est difficile à digérer. Remarque, à Sommière, la ratatouille + riz le midi avant la course c’était pas mal passé non plus

* repas sur soir : on restera sur une base de pates, éventuellement pates complètes. Penser à plus saler que d’habitude : le sel aide à fixer l’eau et donc évite la désydratation

* repas du matin : j’hésite encore entre faire comme d’hab : céréales, yaourt, banane … ou gatosport. Je crois que je vais prendre l’option 2, mais il faut que je teste ça avant.

* pendant la natation : rien

* début du vélo : un peu d’eau mais rien de solide, il faut laisser 1h00 au corps de se mettre en route.

* j’ai noté aussi que pour la vidange gastrique, il est très mauvais d’avoir des variations cardiaque, bref, faut se caller vers 150puls et y rester. (en tous cas pour moi). Attention aussi dans les bosses à ne pas faire péter le cardio, ça produit des toxines et ça fait mal et ça surtout ça gêne l’absorbtion de nutriments.

* puis pas mal manger, environ 300Kcal par heure (là j’ai aucune idée à quoi ça correspond). Je pense que je vais surtout utiliser des barres, a priori, pas besoin de gel (sucres rapides) car sur le bike mon corps aura le temps de digérer. On m’a aussi conseillé de mettre ma montre toutes les 10 minutes : toutes les 10 minutes, une gorgée d’eau et toutes les 20 minutes : manger.

* sur la dernière heure à vélo, commence à diminuer les quantités d’eau et commencer progressivement la prise de gel pour faciliter la transition avec la course à pied.

* et enfin pour le marathon : eau / coca et des gels : un gel par heure à prendre en plusieurs fois donc. Le but est de toujours rester alimenté.

* dernier point : l’après course :  bien manger, badoit, boisson de récupération (je crois qu’il me reste des poudre DKT pour ça)

 

autre article intéressant :http://www.endurancetrainingconcept.com/html/index.php?page=10&type=article&action=voir&id=21

Retour d’expérience sur Klag :

J-3 : Maltodextrine : 1,5L / jour ==> faire le plein de glycogène

le matin : 1h30 avant le départ (5h30) 5 gateaux sport – ça passe nickel – un petit gel 20 min avant le départ, un verre d’eau, c’est tout – vélo des barres powerbar dès les 20 première minutes et 1/2 powerbar tous les ravitos (environ 20 km) + boisson : Isotonic (organisation) / 1 gorgée de coca de temps en temps et de l’eau (environ 0,5l de liquide par 20 km)  – départ de la CAP : gros problèmes intestinaux, grosses douleurs m’obligeant à marcher – A priori, le problème vient de la digestion de certains aliments ingérés la veille qui ont mal été assimilés, provoquant des gazs distendant l’estomac, et provoquant les douleurs. Conclusion, il faudra que je fasse encore plus gaffe la prochaine fois sur la nourriture de l’avant veille (j’ai consommé des fruits)  – puis durant le marathon, une gorgée coca + une gorgée d’eau tous les 2km (ravito) et des gels à partir de 25/30km – j’ai eu également des crampes et ai pris de l’anti crampes (gel VERT ) + Red tonic rouge  à partir du 35ième.

Pour l’apres course, encore des boissons iso / massage / …

 

http://bouilleblog.over-blog.net/archive-07-2008.html

citation : « Côté ravitos, j’avais prévu sur cet IM une autonomie complète en gels. Je n’ai mangé aucun solide pour éviter de perdre de l’énergie à digérer. Donc Powergel toutes les 45mn. Et tous les 3 Powergel, alternance avec un Gel salé de Fenioux pour casser le goût sucré. Tant que je suis dans l’alimentation, j’ai pris un gel au magnésium/arnica avant la nat, un autre au début du vélo, et un dernier avant le marathon. Je les conseille. C’est bon et ça m’a semblé efficace. »

Puissance et fréquence de pédalage à vélo

Voici quelques mois que j’expérimente diverses choses sur ma manière de m’entrainer  en vélo mais sans vraiment savoir quelles sont les paramètres optimaux en terme de fréquence de pédalage.

Comme Puissance = Force x Vélocité, et que j’e n’ai pas trop de force pure, je dois compenser par la vélocité et l’efficacité en ayant un pédalage souple et rond.


Pour améliorer tout ces deux paramètres, j’ai  travaillé sur plusieurs angles :

* home trainer : travaille jambe droite / jambe gauche puis les deux jambes : pour apprendre à tourner rond

* home trainer : rester à 100 tours minutes puis faire monter et descendre les pignons : là c’est plus un travail cardiaque et de force

* sur route : rester entre 110 et 130tpm quand je roule dans les roues et puis à l’opposer, passer à 50/60tpm en bosse

* sur route : travail de PMA : 5 à 10 *10min / recup 2min  (faut se mettre juste sous la zone rouge et au-dessus de la zone cible pour votre IM (environ 80% de la FCM)


… et finalement, je me rends compte, que pour être optimal et pour tenir longtemps en chrono individuel (fraudra bien que je tienne 180km bientot !!), il faut que je suive les paramètres suivants :

* paramètre numéro 1 : fréquence cardiaque cible : bref, le seuil, 80% de la FC Max environ, autour de 150 pour moi

* en bosse  : 20/25km/h – 70-75tpm

* en bosse roulante : 30km/h – 85tpm

* en bosse roulante : 35km/h : 90/95 tpm

* sur le plat sans vent : 38-45km/h : 102tpm …. là c’est hyper précis, mais à 102 je suis vraiment bien

* faux plat descendant : 50-55km/h : 110tpm

* descente : 55-60 km/h : 102tpm à nouveau

* decente rapide : 65-70 : 110 / 120 tpm et attention à surveiller le cardio pour quand meme se reposer un peu en descente.

* descente très rapide : faire l’oeuf et attendre !!


Il faut tout de même noter que ces paramètres fonctionnent très bien pour moi, mais qu’ils nécessitent d’avoir une bonne technique de pédalage, de tourner rond … bref, je ne pense pas qu’il faille les suivre à la lettre, mais ça peut vous donner des idées à adapter en fonction de votre profil.


Comment soigner ses pieds et ses ampoules

J’ouvre un petit post pour stocker quelques recherches sur le sujet « soin des pieds et ampoules ».

En effet, je me traine des ampoules et de la corne mal placée sous le pied depuis de trop long mois (voir année) et ce WE,  en courant avec de mauvaises chaussettes, j’ai choppé une mauvaise ampoule.

Je suis allé sur le net, chez kikourou chercher des infos et au final, je crois avoir quelques pistes à explorer :

  • pour soigner une ampoule : aspiration du liquide à la seringue et remplacement par de l’éosine ==> c’est la solution qui marche le mieux (testé et aprouvé !!)
  • compeed, bebanthene ou vaseline pour recourir par dessus
  • frotter avec du jus de citron pour préparer le pied sur les zones de frottement
  • crème Nok pour éviter les frottements
  • hydrater souvent les pieds avec des crèmes le soir
  • courir avec de bonnes chaussettes (par ex: la gamme 900 de chez Décathlon)

Liens vers les posts intéressant que j’ai trouvés  :

  • http://www.kikourou.net/forum/viewtopic.php?t=12357
  • http://www.kikourou.net/forum/viewtopic.php?t=1535

 

S-16 : plan d’entrainement prochaines semaines

A 16 semaines du but, je prends un peu de recul pour me donner un peu de vision sur les prochaines semaines.

Mais tout d’abord un petit bilan par discipline  à ce jour :

  • Natation : j’ai pas mal bossé la technique, « nager les bras devant », un peu de muscu en semaine pour compenser le manque de scéances. Finalement, je sens que j’ai progressé, mais il faudra repasser à 2 entrainements semaines sur les 6 dernières semaines. + des entrainements en lac avec combinaison pour avoir les 3900 dans les bras.
  • Course à pied : J’ai augmenté ma vitesse de base (endurance à 4’10 au kil sans trop forcer), mais j’ai toujours ces problèmes de contracture aux mollets. Conclusion : je vais continuer les étirements, et me reposer 1 ou 2 semaines. Pour les prochaines semaines, le but sera de maintenir du footing et quelques scéance de vitesse (30/30) ou fractionné sur 1000m une semaine sur deux pour ne pas trop solliciter la machine. Et sur les dernières semaines, je rajouterai des enchainements HT/ 1hfooting ou 3h bike VMA + 30 min course à pied allure IM.
  • Vélo : le travail sur HT paye au dela de mes espérances. Je vais donc continuer dans cette direction : en privilégiant des scéances de VMA + éducatifs D/G. Sur route, une grosse scéance tous les 15 jours et des scéances de 2h00 en VMA sur route : exemple : 20 min echft  + 4*15min ou 3*20min / recup 5 min /retour 20 min


Il va aussi falloir que j’étudie tout l’aspect alimentation : grammes de sel, de glucose etc … Je n’ai pas vraiment d’idée sur ce qu’il faut faire / pas faire. Ca fera l’objet d’un prochain article.

Et voici le tableau des prochaines semaines :

screenshot035

séances Home trainer

Voici quelques exemples que j’ai piqué sur le forum de onlinetri :

exemple de séance PMA:
-2*[10*(45 »- recup 1′)] recup:5′ entre les deux séries, intensité:110% de ta PMA
-30 à 40′ de 30 »-30 » à 110% PMA
-3*[7*(1’30 »-1′)] recup:3′ entre chaque série, 95% PMA
-3*[4*(3′-2′)] recup:4′ entre séries, 90% PMA

exemple soutenance:
-3*(8′-5′) à 80% PMA

exemple de séance PMA:
-2*[10*(45 »- recup 1′)] recup:5′ entre les deux séries, intensité:110% de ta PMA
-30 à 40′ de 30 »-30 » à 110% PMA
-3*[7*(1’30 »-1′)] recup:3′ entre chaque série, 95% PMA
-3*[4*(3′-2′)] recup:4′ entre séries, 90% PMA

exemple soutenance:
-3*(8′-5′) à 80% PMA


Après en corps de séance c’est :
– 15 à 20x 1/1 PMA
– 8×3/3 PMA longue
– travail de force 5×12′
– CLM (descente des pignons en gardant la meme fréquence de pédalage)
– etc…



mes séances préferées que je place soit pour prépa E.M, ou CD:

12 à 15x 30/10 : 30 » 15/108 tpms – 10 » 85/90 tpms (3 series)

En matiere de puissance on peut aussi faire du 45/15——1’/20 »

———————–

Concernant la capacité aerobie:
serie extensive: je choisis une durée de recup entre 10 » et 20 » selon la durée des intervalles, le moment dan sla saison:
1′(r=15 ») + 1’15 » (r=15)+1’30 »+1’45 »+2’+2’15 ainsi on arrive à une durée interressante de travail: la recuperation n’est là que pour une recup psychologique car durant cette periode de recup (90 tpms) la FC ne redescend———pour embrun j’arrive à des periode de 20′ que je repete 3x——-

Mais on peut aussi demarrer à 2′ et augmenter toutes les 30 »
2′ + 2’30 »+3’+3’30+4’00 et resdecendre + 3’30 »+3’15 »+3’+2’45 »+2’30 bref, il faut faire travailler son p’tit cerveau, ses cannes pour mieux tout deboiter le jour de la course, et franchement y a pas photo——–mais pour vraiment savoir, il faut essayer——–


n interval training que j’ai découvert dans le super livre de Frédéric Grappe
C’est tres efficace, tu fait 9 X ( 1′ 100% PMA + 4′ 65% PMA) t’en a pour 45 minutes sans compter l’échauffement et le retour au calme.



Séance Home Trainer 1

Objectif: technique de pédalage
Durée : 53’ à 59’
Déroulement :
– Echauffement 20’ ; progressivement 60 à 75 %
– Pyramide :1’ une jambe, 1’ l’autre,1’ les deux ; 6 à 8 fois en progression de 5puls toutes les 3’ ; début à 70% maxi à 85% puis inverse
– Récupération : 10’ à 70% + 5 dernières à 60%
Recommandations ; penser à rester véloce au mini 90 rpm essayer de faire l’exo à 105 rpm ( voir Armstrong…)

:arrow: Séance Home Trainer 2

Objectif: seuil
Durée:55’ à 90’
Déroulement :
– Echauffement 20’
– 10 à 15’ à 80 à 90 % suivant recommandations et saison ; récup 10’ ; 2à3 fois
– Récupération :10’ à 70 % + 5’ à 60%
Recommandations ; garder un rythme de pédalage constant :100 rpm est un bon compromis

:arrow: Séance Home Trainer 3

Objectif: travail force
Durée: 61’
Déroulement :
– Echauffement 20’
– Pyramide ; 1’ à 50 rpm, 2’ à 120 rpm mini, augmentation de 5% FC toutes les 3’ début à 70%- maxi 85%.les temps en force peuvent évoluer, la récup étant toujours égale à 2 temps de force
– Récupération : 20’ en hyper vélocité
Recommandation : attention au placement et à ne pas se servir des bras lors des exercices de force. Mains à plat sur le guidon

:arrow: Séance Home Trainer 4

Objectif: vélocité
Durée: 70’ à 85’
Déroulement:
– Echauffement 20’
– Toutes les 5’ faire 30” en vélocité max ; FC 70 à 80 %. Ne pas en tenir compte lors des 30’’- 8 à 10 fois maxi
– Récupération 15’



Mes entrainements sur home trainer

Voila maintenant près de 2 mois que je pratique environ 2 fois par semaine (rarement 3) l’home trainer. Finalement, je tourne sur 3 types de séances : que je rallonge un peu  ou que je mélange si j’ai plus de temps

  • séance de VMA :
    • échauffement 10min normal (FC130) + 5 min 30″ vélocité / 30″ normal braquet 39×19/17
    • série : 3 répétitions 4min 51×15 FC150/160 env 100T/min  – recup active 1 min (39×15)
    • retour au calme 5 à 10 min
  • séance de vélocité :
    • échauffement 10min normal (FC130) + 5 min 30″ vélocité / 30″ normal braquet 39×19/17
    • série : 3 répétitions (4 fois 1min 39×15 FC155 env 120/130T/min  – recup active 15″ secondes (retour FC145) / recup entre 2 répétitions : 2 min)
    • retour au calme 5 à 10 min
  • séance de éducatif jambe droite / jambe gauche:
    • échauffement 10min normal (FC130) + 5 min 30″ vélocité / 30″ normal braquet 39×19/17
    • série : 6 répétitions (1min jambe droite /15″ de changement / 1 min jambe gauche / 15″ changement  / 1min 2 jambes / 15″ de changement ) / – braquet : 39×15 – FC 140/145 – env 90 à 100T/min – Ce qui est important c’est d’écouter l’home trainer, le bruit doit être le plus régulier possible
    • retour au calme 5 à 10 min

et j’oubliais ma séance de test :

  • échauffement 10min normal (FC130) + 5 min 30″ vélocité / 30″ normal braquet 39×19/17
  • par tranche de 2 min, je fais monter le coeur de 5 puls en 5 puls avec 1 min de recup passive entre chaque.
  • Le but est de mesurer la capacité du coeur à monter (atteindre FCM) et la capacité du coeur à redescendre après l’effort
  • Pour les braquets, c’est un peu au feeling, j’augmente progressivement en conservant une vélocité de 100/110 tour minutes, mon indicateur principal est juste la FC
  • lire le compte rendu du test fait début janvier : http://onlinexav.fr/tri/news/test-sur-home-trainer/

Position aéro pour triathlon

Depuis que j’ai reçu mon cintre de triathlon, j’ai essayé un peu d’optimiser ma position et surtout de comprendre ce qui joue sur les réglages.

En particulier, on parle souvent du recup de selle en triathlon et d’abaisser sa potence … pourquoi?

J’ai trouvé un article très intéressant sur le sujet avec surtout un schéma qui m’a fait tout comprendre : grosso modo, pour une puissance optimale, l’angle au niveau du bassin entre le fémur et la colonne doit être de 90°. Or pour être aérodynamique, il faut avoir le dos plat, donc cela nous oblige à pivoter vers l’avant selon un axe défini par le pédalier, ce qui oblige à avancer la selle et à baisser la potence.

Pour plus d’infos, lire l’article suivant : article en version PDF (source : http://triathlonperformance.onlinetri.com/index.php?page_id=3528)

 

screenshot020

Evaluation de ma VMA

Depuis quelques semaines je fais des séries de fractionné, dimanche dernier j’ai fait un test sur presque une heure et finalement, en regardant les différents paramètres : Fréquence cardiaque, Vitesse, et en croisant avec des abaques, tout concorde avec les paramètres suivants :

VMA (vitesse que je peux tenir pendant 5 min environ) : 18km/h

Fréquence cardiaque atteinte pour atteindre la VMA : 177 ce qui ne correspond pas à ma FCmax qui est de 183

allure pour 10 km : 16,2 km/h (90% de VMA) = 3’42 soit 37min et une FC de 170 soit 92% de FCM ==> 15/03/09 :  j’ai pu le vérifier sur le semi de villeurbanne, je fais 37’38 avec des conditions de fatigues disons assez avancées, + du vent

Allures pour semi : 15km/h (83% de VMA) = 4min/km soit 1h24 et un FC de 166 soit 90% de FCM (la ça fait beaucoup, mais a priori ça tient)

==> 15/02/09 :je pense avoir a peu près vérifié cette vitesse, puisque j’ai tenu 15 bornes à 4’55 voire moins en février

Allure pour le marathon 14km/h (78% de VMA) = 4’17/km soit 3h00 tout rond et FC = 150 soit 80% de FCM

==> …pour l’instant, j’ai toujours rien fait de ce côté là (marathon) ! L’ironman sera donc un premier grand saut !

bon, tout ça ce sont des chiffres, maintenant il va falloir que je vérifie ça grandeur nature, mais ça semble plutôt cohérent.

tableau mis à jour

Course à pied :  Vitesse / Fréquence cardiaque


Comment reconnaitre un triathlete

Extrait du forum du club … lui meme extrait de facebook

Vous savez que vous êtes un triathlète quand …

Lorsqu’on vous a demandé votre âge , vous avez répondu 20-24.

Lorsqu’on vous a demandé combien de temps vous vous êtes entrainé aujourd’hui la réponse est trois à quatre heures.

Votre entrainement est plus limité par votre temps disponible que par vos capacités physiques.

Votre première pensée quand vous vous réveillez est de savoir à quelle hauteur est votre fréquence cardiaque de repos .

Vous partez courir même si il y a un orage et vous aimez être mouillé et sale.

Tu crois qu’il est naturel de faire “tes besoins naturels” derrière un arbre dans la forêt.

Vous prenez part à un défi entreprise afin d’améliorer votre vitesse de base.

Vous partez pour un 5 kms de récupération juste apres 5kms course pour appeler çà une session d’entrainement .

Vous considérez travail, le temps de récupération entre les entrainements .

Quelque chose de dur entre les jambes est habituellement un pull-buoy

Vous avez une bouteille d’eau quand vous conduisez votre voiture.

Vous avez oublié la façon de boire dans des gobelets.

Vous passez 2 semaines de vos vacances annuelles dans des stages d’entrainement.

Vous savez combien de grammes de proteines contient chaque barre énergétique .

Vous envisagez sérieusement la demande de naturalisation, au Tonga, au Yémen ou auTschad afin que vous puissiez participer aux jeux olympiques.

Lorsque les gens vous demandent si vous êtes capable de courir un semi-marathon , vous vous sentez insulté.

En été, vos jambes sont mieux rasées que celles de votre copine.

En hiver, vos jambes sont encore mieux rasées que celle de votre copine .

Vous avez besoin d’une photo pour une demande d’emploi et il ne vous reste que des photos de courses.

Vous utilisez vos T-shirts offerts par les triathlons pour nettoyer votre vélo.

Le parfum que vous portez à longueur de journée sent le chlore .

Vous avez pris plus de douches dans un vestiaire que chez vous.

Le chien court et se cache quand vous sortez la laisse!

Tu crois qu’il n’y a que deux saisons au cours de l’année , course et repos .

Vous rasez beaucoup trop de parties de votre corps pour un mec.

Vous ne savez pas changer l’huile dans votre voiture, mais vous pouvez entièrement remonter votre vélo en 45 minutes .

Vous dépensez plus d’argent dans votre entraînement et vos vêtements de course que dans vos vêtements de tous les jours .

Quand vous voyez une dame arroser ses fleurs , vous lui demandez si vous pouvez emprunter le tuyau d’arrosage pendant une minute afin que vous puissiez remplir vos bidons.

Vous nettoyez votre vélo plus souvent que votre voiture .

Votre voiture ressemble à un vestiaire.

Vous avez tout ce qu’il faut dans votre voiture pour être prêt en cas de séance d’opportunité de caser une séance natation, vélo ou course à pied.

Lorsqu’on vous demande de tondre la pelouse par 35°, vous dites qu’il fait trop chaud pour le faire , mais une heure plus tard, vous allez faire la sortie longue de la semaine parce que c’est tellement agréable.

Vous dites à vos collègues que vous vous apprêtez à aller faire une sortie longue dimanche et vous espérez juste qu’ils savent de quoi vous parlez.

Quand un collègue vous demande si vous courez ce week-end, vous dites «oui, mais je vais juste gérer un 10k, donc ce n’est pas VRAIMENT une course”.

Vous considérez Powerbar comme l’un des quatre groupes alimentaires.

Vous avez beaucoup de bouteilles d’eau, épingles et de t-shirts chez vous.

Vous allez récuperer le lendemain d’une course à l’entrainement natation avec le numéro de course toujours tatoué sur le bras et la jambe .

Vous avez du mal à faire un déjeuner en dessous de 2000 calories.

Vous avez un vélo de 4000€ accroché sur le toit de votre voiture qui coute 2000€.

Au lieu de Marie Claire, Cosmo… vous avez des tas de Triathlète dans vos WC.

Vous dites bonjour aux cyclistes que vous croisez et si il ne repond pas , c’est qu’il est un pur cycliste , le triathlète est amical pour vous.

Vous n’avez pas un, ni deux, mais trois anneaux de traces chaînes permanentes sur votre mollet droit l’été.

Vous ne savez pas quel tee-shirt d’Ironman vous allez porter sur votre prochaine course .

Vous avez beaucoup plus de paires de chaussures courses à pied dans votre armoire que votre femme a de chaussures de ville .

La combinaison que vous portez à Aquaman sur le torse.

Vous portez votre moniteur de fréquence cardiaque au cours de rapports sexuels ….

… Et vous essayez de rester dans la bonne zone !!!

Vous apportez des bouteilles d’eau à une soirée , afin que vous soyez bien hydraté pour la longue CAP du lendemain matin . Tout le monde lors de la fête a également amené sa propre bouteille d’eau parce que vous n’avez pas une vie sociale en dehors du triathlon. Ah oui, et ils sont tous arrrivés à 19 h et partis à 22h.

Votre société annonce la fermeture obligatoire non rémunérée du Vendredi tout au long de l’été afin de réduire leurs coûts et votre réponse est “super maintenant je peux faire deux long entraînements sur le week-end et avoir une journée de repos.”

Vous pouvez demander à votre mère ,votre sœur ,votre femme des conseils pour … s’épiler .

Impossible c’est elle qui vous demande conseil !

Vous dites que vous êtes allés à une course le week-end dernier … et quelqu’un répond: “course à pied ou le vélo”, et vous êtes obligé d’expliquer à nouveau ….

Vos collègues de travail vous surprennent avec un menu XL du Macdo , et vous avec un large sourire leur expliquez que vous n’aurez aucun probleme pour le digérer .

Vous portez votre maillot de bain sous vos vêtements de travail pour faire un changement rapide et avoir le temps de faire toute votre séance .


6 mois … avant objectif

Les semaines se sont finalement très vite écoulées et en regardant le calendrier, je vois le mois de Juillet arriver. Pour l’instant je suis dans les clous avec mes attentes.

En course à pied, à ma grande surprise ça tient le coup. Je m’enquille de bonnes scéances à mon goût, des fois un peu trop tard le soir, mais ça va. On verra le résultat dans 5 semaines sur le semi.

En natation, j’avais essayé pendant les vacances de noël de mentaliser le mouvement devant une glace et de bosser un peu avec des petits poids de fitness. Résultat : je suis passé de 1’45 au 100m à 1’35 et j’ai même fait 1’27 en série l’autre fois. Ca fera rigoler plus d’un minime ou benjamin, mais moi ça me va pas mal du tout. Objectif : aligner les 100m en 1’30 d’ici cet été.

Côté bike, je continue à tout miser sur le Home Trainer. Je varie avec des scéances de type en force sur des répétitions de 5min et des scéances plus intenses sur des séries de 2 min. FC>150.

Entre le boulot qui me capitive pas mal en ce moment, et Maelle, ma fille, qui nous émerveille par ses progrès tous les jours, je vais essayer de mieux m’organiser pour maintenir le cap. L’idéal serait au moins que tous les midis que j’ai de libre, que je fasse une scéance de HT.

Faire rimer entraînement et bien être

Source :  http://www.triathlon-live.info/html/index.php?page=3&page_id=1970

Mickael SAINT-AYES, Conseiller sportif, mickael.saint-ayes@wanadoo.fr

Faire rimer entraînement et bien être

La lassitude de l’hiver, le manque de compétitions sont là et pourtant nous continuons à braver le froid, la nuit et le mauvais temps.

Mais pour nous autres, pratiquants assidus s’entraînant tous les jours quelque soit l’heure, la météo, le lieu sommes des sujets sans cesse en quête d’un idéal, comme le souligne justement J. Birouste : « Physiquement et mentalement, (nous) recherchons l’idéal de la netteté et sommes tenu par la question de la limite, par le désir d’aller au point idéalement juste et harmonieux, par le goût du but à atteindre ».

Mais vu de l’extérieur, cette quête de la perfection est parfois incomprise par notre entourage non pratiquant. Nous leur donnons une impression de dépendance vis à vis de notre activité ; des adeptes d’une pratique individualiste, répétitive et monotone, sans grand intérêt (« Tu cours après quoi ? »), demandant un investissement conséquent, un dépassement de ses limites et engendrant à terme une usure prématuré de son organisme (« Tu verras tes genoux et ton dos quand tu auras 50 ans ! »).

En effet nous pouvons nous demander ce qui fait nager, rouler et courir le triathlète ? Ce qui pousse les compétiteurs d’IronMAn à enchaîner des journées d’entraînement d’enfer ? Ce qui nous oblige à nous entraîner tous les jours pour ne pas avoir mauvaise conscience d’avoir loupé un entraînement par manque d’envie ou de temps ? Autant de questions et bien d’autres encore qui nous amène à nous interroger sur ce qui nous motive au quotidien. Ce que les non pratiquants ne comprennent pas et ne peuvent pas comprendre.

La réponse est simple LE BIEN ETRE ! Sans lui rien n’est possible. Même si cela peut sembler paradoxal de faire rimer entraînement, compétition et bien être lorsque l’on voit la somme des contraintes quotidiennes que nous nous imposons. Il faut bien reconnaître que c’est la source à laquelle nous nous abreuvons tous. Ce plaisir est discret mais efficace et omniprésent. Il existe en nous et est présent dans chaque goutte de sueur.

Scientifiquement, il est reconnu depuis les années 70 que l’activité sportive a un pouvoir euphorisant sur l’organisme par la sécrétion de molécules semblables à la morphine et de leurs effets sur certaines zones du cerveau. L’organisme est donc capable de moduler plus ou moins efficacement sa perception de la douleur et du plaisir par la fabrication de molécules des familles des enképhalines, endorphines et dynorphines. Néanmoins nous ne pouvons résumer la problématique du bien être provoquée par la pratique sportive à la seule influence de ces dérivés de la morphine. En effet au delà de ces conceptions scientifiques indéniables, nous pouvons admettre très facilement qu’il existe des raisons bien plus pragmatiques qui nous poussent à nous mouvoir au quotidien.

Pour nous autres passionnés, le triathlon qu’il soit envisagé par le versant de la compétition, de la découverte, du plaisir, de l’entretien nous permet de découvrir le monde, d’échanger avec d’autres, de connaître son organisme et de le respecter et enfin et surtout de trouver un équilibre et un épanouissement au quotidien. Cette vision de la pratique sportive, complètement indifférente des non pratiquants nous permet de trouver un bien être au quotidien dans notre pratique préférée.
Même si les premières compétitions commencent à se rapprocher, il faut savoir faire un bilan intermédiaire sur tout le travail hivernal déjà réalisé. Pour ceux, qui en cette fin d’année commence à sentir les effets de la lassitude et de la fatigue physique et psychologique, c’est le moment de faire rimer entraînement avec coupures, petites vacances, familles et découvertes. La priorité n’est plus au travail de son potentiel mais simplement à la recharge des batteries. Cette autre vision de la pratique est primordiale avant de se relancer dans une autre période d’entraînement. L’entraînement se base au quotidien par une alternance du travail avec le repos. Ce dualisme doit également trouver sa place à l’échelle de la saison. Le mieux étant de se l’appliquer dès lors que notre organisme nous le fait ressentir. La persévérance est un facteur essentiel de performance pour nous autres, mais il ne faut pas la retourner contre nous en voulant continuer des phases d’entraînement trop longues alors que notre organisme nous demande de ralentir. Car ce dernier ne nous le demande pas vraiment. Il nous le fait comprendre par le biais de la blessure. Le bien être passe par la décompression et l’oubli de l’obligation d’entraînement. Savoir faire rimer entraînement-famille-vacances permet de reconstituer les batteries et de partager ce moment d’équilibre avec tout son entourage. Quel plaisir d’aller faire une balade en raquette au grand air alpin avant de prendre un déjeuner typiquement savoyard et d’enchaîner avec une séance de farniente.

Pour les autres, ceux chez qui les sensations commencent à arriver c’est peut être le moment d’envisager d’autres types de pratique avec le cross, le cyclo-cross, le duathlon des neiges et/ou d’aquathlon. Le calendrier y est parfaitement adapté. De surcroit, notre potentiel développé de façon complète nous permet sans grand soucis et sans nous demander une grosse préparation spécifique d’aborder de nouvelles pratiques. S’essayer, aller voir autre chose sont autant de moyens de découvrir la pluralité de notre activité. Le triathlon ne peut rimer en permanence avec recherche de son optimal. Savoir aller voir ailleurs par moment nous permet d’apprendre et d’aborder les compétitions de façon différentes ; sans pression. Lors d’une nouvelle pratique, nous sommes beaucoup plus passifs. Nous vivons la compétition du début à la fin sans l’obligation de résultat même si celui-ci revient vite. Et quel plaisir d’avoir découvert une autre pratique et une autre approche de la compétition et du triathlon !

Si nous considérons la notion de bien être par un versant plus physiologique, notre pratique quotidienne nous permet de connaître le fonctionnement de notre organisme. Au fur et à mesure des entraînements, des mois et des années, nous savons comment réagit notre organisme, combien de temps de récupération il lui faut, dans quelles limites nous pouvons le solliciter, à quels moments de la saison nous serons en forme ou au contraire fatigués. Cette attention particulière que nous lui portons semble très logique car s’est belle et bien lui qui nous permet de nous mouvoir. C’est notre instrument de plaisir ! Son non respect serait une aberration ! Cette impression de narcissisme que nous pouvons parfois donner autour de nous est souvent critiqué par les non pratiquants ; jaloux de notre bien être physique et psychologique.
S’il est vrai que nous sollicitons notre organisme au delà de la norme, même si celui-ci est avant tout fait pour se mouvoir et ne pas rester immobile, nous en prenons soin. Nous sommes les premiers à réaliser des prises de sang pour contrôler des composantes telles que le Fer, le Potassium, le Calcium, le Magnésium autant d’éléments biochimiques essentiels au bon fonctionnement de notre organisme. Mais lors de ces analyses sanguines nous  contrôlons également des composantes beaucoup plus communes telles le Cholestérol, la Glycémie ou encore l’Acide Urique. Ce suivi au quotidien nous permet d’anticiper toutes variations dangereuses ; nous faisons de la prévention et non pas du curatif !
Nous savons également adapter notre alimentation aux exigences de notre pratique et aux demandes de notre organisme. Même si cette attitude peut paraître vue de l’extérieure comme une restriction alimentaire, il est un simple régime alimentaire adapté aux particularités de chacun. Nous ne nous privons pas, même en cette période festive sinon nous ne pourrions pas faire ce que nous faisons tous les jours. Nous faisons simplement attention à notre assiette ; il n’y a pas de mal à cela ! La lutte contre l’obésité ne fait pas partie de nos préoccupations, ni même celle contre l’anorexie.

Après de bonnes séances d’entraînement le sommeil vient tout seul. Il est complet est récupérateur. Pas besoin de somnifères pour s’endormir, ni stimulants pour se réveiller le lendemain. Notre activité quotidienne permet une autorégulation de notre organisme. Il nous demande de dormir, de bien manger, de récupérer, si nous l’écoutons et le respectons le bien être est omniprésent. Cette correspondance entre ce qu’il nous demande et ce que nous lui demandons permet d’éprouver un plaisir permanent lors des entraînements.

Le bien être peut également se définir dans notre approche du triathlon par l’équilibre entre les contraintes professionnelles et familiales et le pouvoir déstressant de la pratique notamment en groupe. Mais aussi dans la recherche d’un certain épanouissement personnel. Ce petit moment de déconnexion de la journée, nous permet à chacun d’oublier ou momentanément de mettre de coté nos petits soucis quotidiens. Savoir les partager avec d’autres, ne pas les accumuler, se lâcher en se donnant à 100% sur la séance permet d’envisager la vie d’une autre façon. Nous savons que nous sommes capables. Nous savons nous investir à l’entraînement pour réaliser nos objectifs sportifs. Nous en faisons de même dans notre activité professionnelle quotidienne. Quand nous sommes compétiteurs, quand nous nous investissons dans notre projet sportif nous en faisons autant vis à vis de notre métier et notre entourage. Cet investissement, cet épanouissement et cet équilibre nous permet de repartir chaque soir de l’entraînement totalement soulagé et satisfait de s’être bien entraîné même si en arrivant au vestiaire une heure plus tôt la motivation n’était pas forcément présente. L’effet groupe, respect de son plan d’entraînement sont autant de facteurs permettant de se sentir bien après les séances. Sinon pourquoi y aurait-il autant de cadres d’entreprise, soumis à une certaine pression professionnelle qui se mettent à la pratique sportive dans le seul but de trouver un palliatif à leurs contraintes quotidiennes. Ils viennent chercher une certaine déconnexion de la réalité momentanée et ces sensations de bien être.

Les effets idéaux que nous attribuons dans cet éditorial à notre vision du triathlon c’est à dire une pratique sportive permettant de découvrir le monde, d’échanger avec d’autres, de connaître son organisme et de le respecter et enfin et surtout de trouver un équilibre et un épanouissement au quotidien peut très facilement être mis à mal dès lors que nous franchissons ses mêmes limites. Le surentraînement, le dopage, la tricherie, l’individualisme ne sont pas si loin que cela. Il ne faut pas se masquer la vue ! Nous n’envisageons pas tous le triathlon de la même façon.
Néanmoins, en se fixant comme ligne de conduite le recherche du bien être dans notre pratique quotidienne lors des entraînements ou en compétitions nous ne pourrons en ressortir que grandis.
Mickael SAINT-AYES, Conseiller sportif, mickael.saint-ayes@wanadoo.fr

Test sur home trainer : recherche FC Max et récupération

Afin d’avoir quelques repères sur home trainer j’ai fait un test ce matin : 15 min echft / puis des paliers de 2 min avec une augmentation de la FC de 5  à chaque fois puis recup passive (sans bouger) de 1 min pour voir à combien la FC descend. Je n’ai pas pris en compte le paramètre vélocité car mon compteur est HS, mais je devais osciller entre 95 au début et 110 à la fin.

Le résultat en image :

test home tainer 05/01/2009

Quelques commentaires : j’ai toujours du mal à dépasser les 170, là j’ai du faire une pointe à 172 en étant complètement à bloc. Pour le FC Min, on peut noter que je redescends toujours aussi rapidement à la fin, il serait intéressant de refaire des tests du type 2min à 160 ou 165 puis 1 min de recup plusieurs fois et voir à partir de combien de temps la FC Min commence à se rapprocher de la FC cible. … pourquoi faire me direz vous ! Et bien pour avoir un indicateur de performance sur ma capicité à être au seuil (environ 165 je pense) et à redescendre rapidement pour refaire du jus (par exemple sur une petite descente lors d’une course)

pour mémoire, le fichier excel : 090105_test_home_trainer.xls

Documentation : Tests en Course à pied et entrainement fractionné

Voici la nouvelle année qui vient d’arrivée. J-6 mois donc.

La forme commence à venir, en course à pied pour l’instant. Et le père noel m’a apporté un home trainer et un cintre de chrono. Waouh!

J’ai de nouvelles jambes aussi, en effet, cette semaine j’ai passé 2 entrainements en fractionné et les mollets tiennent le coup et j’ai des courbatures dans les cuisses. Question cardio, je commence à avoir mes repères. Pour l’instant je tiens les séries de 2000m en 3’50 FC 165/170.

Prochain objectif : le semi de Saint Priest – fin février. Je vais viser les 1h20. Ca fait du 3’50 au km. Du coup faut que je trouve un plan d’entrainement sur ces bases.

Dans mes recherches de plan d’entrainement j’ai lu les pages suivantes :

http://ultrafondu.free.fr/Recherche/2001-05-Billat.php

http://spip.endurance2003.levillage.org/spip/article.php3?id_article=51

http://yannick.del.free.fr/bases%20entrainement.htm

le test de VamEval : http://home.nordnet.fr/~scharlet/feuilles.htm

Conclusion : il faut bien que je me renseigne pour ne pas casser la machine. Ce qui apparait c’est qu’il faut plutôt bosser sur du fractionné court 30/30 que du fractionné long qui risque de me blesser. Et selon les études que j’ai lu, c’est tout aussi efficace et on travaille mieux à des hautes FC car avec les 30″ de recup le coeur n’a pas le temps de redescendre.

Vitesse en course à pied et fréquence cardiaque

Depuis quelques semaines j’essaie de prendre mes marques lorsque je cours en aérobie. C’est à dire sous le seuil.

J’ai consigné tout ça dans un graphe et cela va me donner de bonnes indications pour mes entrainements futurs afin d’atteindre les vitesses désirées.

Voici le résultat :

fcm

Lors de la Saintelyon, soit 2h30 d’effort, j’étais entre 165 et 170 avec des pointes à 175, ce qui correspond bien à la zone 90/95% de la FCM. Finalement, au filing j’avais trouvé ma zone juste sous le seuil.

Je pense que pour un effort court, style semi marathon, il faut que je vise une FC de 170 +/- 3 ce qui donne théoriquement 16km/h.

Il faut, pour les semaines suivantes (objectif semi fin février), que je fasse des séries à 16km/h soit 3’45/km pour vérifier que ça passe et progresser bien sûr. Et j’essaierai aussi de faire des séries à 3’30 pour améliorer ma VMA. … mais bon, attention toujours à la casse, pour le moment les jambes tiennent, mais ça fait toujours un peu mal aux mollets.

Sur du long, pour Klagenfurt, je viserai plutôt une FC à 150 en CAP ce qui devrait donner une allure de 12 ou 13 km/h en prennant en compte une dégradation due à la fatigue de 5 à 10 puls.

Petit article intéressant trouvé sur le net expliquant bien les différentes zones et l’intérêt qu’elle représente pour l’entrainement.

http://fsp.saliege.com/fsp.htm

Une autre information importante de cet article est la répartition des charges d’entrainement à suivre :

 »    Un sportif amateur doit ventiler sa pratique sur :
une allure foncière 125/140 de 50% à 70% du temps
une allure soutenue 150/160. de 20% à 30% du temps
un travail au seuil 165/175 de 10% à 20% du temps
L’effort correspondant au seuil ne doit plus être pratiqué en continu, mais sur du fractionné long (au delà de 800m).Un dépassement occasionnel de ces valeurs autour de 180 ne semble pas poser problème mais cela correspond plus à une volonté de participer à des compétitions et nécessite un suivi particulier. Cela correspond à une pratique de fractionné court qui permet d’augmenter efficacement la VMA. Dans cet esprit là il faut en plus augmenter le pourcentage de travail à fréquence élevée. La répartition 50/30/20 correspond à un niveau adapté à la compétition. La répartition 70/20/10 correspond à une pratique plus modérée mais largement suffisante pour se maintenir en excellente condition physique. Il est à noter que les risques ostéo-articulaires augmentent sérieusement aux fréquences élevées. L’enquête de terrain a montré que pour la course à pied dans la génération des 40/60 ans la limitation n’est pas cardio-vasculaires ou respiratoire mais se trouve du côté des tendinites et des cartilages du genou. Pour le vélo la limitation est dans le risque lié aux chutes, car le risque ostéo-articulaire est très faible. »